Depuis son accession à la tête de l’Assemblée nationale, le professeur Vital Kamerhe a intensifié la diplomatie parlementaire pour appuyer l’action du gouvernement face à l’agression rwandaise dans l’Est de la République démocratique du Congo. À travers des rencontres stratégiques avec des parlementaires américains, européens et asiatiques, il a sensibilisé la communauté internationale sur la violation de l’intégrité territoriale du pays par le Rwanda et ses alliés du M23.
Dans cette dynamique, Vital Kamerhe a multiplié les interventions dans des instances internationales, notamment à Montréal, où il a obtenu la condamnation du Rwanda par l’Assemblée parlementaire de la Francophonie (APF), et à Nouakchott, où il a poursuivi son plaidoyer. En France, il a sollicité l’implication des autorités pour freiner les exactions dans l’Est du Congo, et en Égypte, il a appelé à un soutien diplomatique et humanitaire en faveur des populations congolaises.
Son offensive diplomatique s’est également poursuivie en Afrique, avec des interventions remarquées à Accra, Abidjan et Rabat, où il a exhorté les dirigeants africains à briser le silence face aux atrocités commises en RDC. Grâce à son engagement, plusieurs institutions parlementaires ont inscrit la question congolaise à l’ordre du jour, obtenant ainsi des condamnations officielles contre l’agression rwandaise et l’appel au respect des frontières.
À Can Tho, au Vietnam, Kamerhe a porté son message devant les parlementaires asiatiques et européens, renforçant ainsi la mobilisation mondiale contre l’instabilité imposée à la RDC. Cette diplomatie parlementaire active, menée en complément de la stratégie gouvernementale, témoigne de la volonté du président de l’Assemblée nationale de faire entendre la voix du Congo sur la scène internationale et d’obtenir des actions concrètes en faveur de la paix et de la souveraineté nationale.
La Rédaction
