Le parti d'opposition Envol a exprimé le 10 octobre son opposition à la tentative du régime Tshisekedi de contourner l'article 220 de la constitution pour modifier celle-ci et prolonger son mandat. Dans une lettre ouverte à la population congolaise, le parti politique de l'opposant Delly Sessanga demande au président Félix Tshisekedi de se retirer pacifiquement en 2028, comme l'a fait son prédécesseur Joseph Kabila, tout en respectant le pacte républicain fondamental au fonctionnement des institutions.
Le comité national d'Envol qualifie les propos de l'UDPS, parti au pouvoir, sur la modification de la constitution de désordonnés et bruyants, à peine voilés. Par cette lettre, Envol appelle à une prise de conscience collective pour protéger une constitution qu'il considère comme une base solide pour mettre fin aux crises répétées de légitimité.
Le comité national d'ENVOL exprime son inquiétude quant à une possible révision de la constitution, craignant qu'elle ne plonge à nouveau le pays dans le chaos et la division, profitant seulement à l'autoritarisme de quelques individus, au détriment du bien-être général.
Malgré ses imperfections, inhérentes à tout texte légal, cette constitution reste aujourd'hui essentielle pour assurer la stabilité et l'unité nationale, selon l'ENVOL. Les dispositions strictement sécurisées par l'article 220 représentent une ligne à ne pas franchir.
Le comité demande à Félix Tshisekedi de quitter ses fonctions à la fin de son mandat en 2028, prévenant qu'il sera accusé de haute trahison sinon. ENVOL appelle tous les Congolais à se désolidariser de cette démarche qualifiée de « suicidaire » pour empêcher tout référendum, en agissant conformément à l'article 64 de la constitution.
Le comité national d'ENVOL exprime son inquiétude quant à une possible révision de la constitution, craignant qu'elle ne plonge à nouveau le pays dans le chaos et la division, profitant seulement à l'autoritarisme de quelques individus, au détriment du bien-être général. Malgré ses imperfections, inhérentes à tout texte légal, cette constitution reste aujourd'hui essentielle pour assurer la stabilité et l'unité nationale, selon l'ENVOL.
Les dispositions strictement sécurisées par l'article 220 représentent une ligne à ne pas franchir. Le comité demande à Félix Tshisekedi de quitter ses fonctions à la fin de son mandat en 2028, prévenant qu'il sera accusé de haute trahison sinon. ENVOL appelle tous les Congolais à se désolidariser de cette démarche qualifiée de « suicidaire » pour empêcher tout référendum, en agissant conformément à l'article 64 de la constitution.
Par Jonas Shampa
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