Le match retour des huitièmes de finale de la Ligue des Champions entre l’Atlético de Madrid et le Real Madrid a été marqué par une polémique qui continue d’alimenter les débats. À la 20ᵉ minute, Giuliano Simeone a touché le ballon de la main dans la surface de réparation, mais ni l’arbitre polonais Szymon Marciniak ni le VAR n’ont estimé qu’il y avait faute. Cette décision a immédiatement provoqué une vague de réactions sur les réseaux sociaux, où les termes « Vol » et « Pénalty » sont rapidement devenus des tendances.
De nombreux supporters et analystes considèrent que l’action méritait un pénalty en faveur du Real Madrid. Cependant, l’arbitre a jugé que le geste du fils de l’entraîneur de l’Atlético, Diego « Cholo » Simeone, n’était pas intentionnel, et a donc décidé de ne pas siffler la faute. Cette décision a renforcé le sentiment d’injustice chez les supporters madrilènes, qui estiment que leur équipe a été lésée à un moment clé du match.
Au-delà de cette controverse, le match a démarré sur les chapeaux de roues avec une ouverture du score express de l’Atlético de Madrid. Dès la 28ᵉ seconde, Conor Gallagher a profité d’un centre précis de Rodrigo de Paul pour tromper Thibaut Courtois et inscrire le premier but de la rencontre. Ce but a permis à l’Atlético de recoller au score global après la victoire 2-1 du Real Madrid lors du match aller.
Malgré une nette domination de la possession, le Real Madrid a peiné à se montrer dangereux en première période, ne cadrant qu’une seule véritable occasion par Rodrygo, tandis que l’Atlético s’est montré plus incisif avec deux tentatives dangereuses repoussées par Courtois.
L’incident de Giuliano Simeone restera l’un des faits marquants de cette rencontre.
Si la décision de l’arbitre est définitive, le débat reste ouvert et continue de diviser les observateurs. Cette action aurait-elle dû aboutir à un pénalty ? Pour de nombreux supporters du Real Madrid, leur équipe a été privée d’une occasion cruciale. Mais comme souvent en football, les décisions arbitrales restent sujettes à interprétation, et la polémique pourrait bien durer encore plusieurs jours.
Plamedi MUZAMA
